9 thoughts on “Radio Rôliste #42 : Du gravier sous la drache – partie 2

  1. Eric N

    Je suis en train d’écouter le débat et j’ai des flashbacks de la Cellule.

    (Compliment, critique ? Je vous laisse décider :P)

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  2. Christophe "elbj"

    Excellente seconde partie. Je vous rejoins sur le fait que la réflexion sur le système est importante. Pour ma part je pense que le système doit essentiellement supporter le propos du jeu et inviter les joueurs à suivre certains comportements voulus par l’auteur.

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  3. krab

    Merci pour ce podcast : J’ai beaucoup aimé les critiques, et notamment celle de perdus sous la pluie ; Le concept a l’air plein de promesses 🙂

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  4. Peggy

    J’ai également bien aimé le débat, mais étant une joueuse plutôt qu’une théoricienne du jdr, il m’a fallut du temps pour bien comprendre ce que vous entendiez par « Simulation », ça aurait été pas de redéfinir le terme avant de lancer le débat. Y’a plein d’autres références théoriques que je n’ai pas du tout comprises.

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  5. krab

    Très bonne remarque de Peggy.
    Même si dans l’absolu on ne peut pas tout redéfinir, un petit rappel ou un lien wiki dans l’intitulé du podcast serait bien sympa. ^^ (surtout vu que ces termes sont souvent remis en cause)

    (cela dit, je tiens à préciser que RR est le podcast français qui fait le plus d’effort pour rendre son propos simple, clair et accessible. Et ce malgré des critiques de jeux parfois costauds et des carnets ludographiques souvent velus : pour ça, bravo les mecs! )

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  6. Natha

    Il manquait un ludiste (?) dans le débat mais c’était intéressant 🙂
    Ceci dit, quand j’entends « tomber de l’everest ou de dans le fossé, c’est pareil » (je schématise) , je ne suis pas d’accord du tout. La pose d’enjeu technique et une réponse technique (la partie « jeu »/mécanique donc « simulation ») est un plaisir pour certains, qui fait partie intégrante du JdR pour certains d’entre nous (en plus du « roleplay » et de la narration partagée ou interactive).

    Et pour en revenir à la remarque (relativement pertinente) qui reprochait à des jeux « simulationnistes » d’émettre un cadre de règles pour chaque « cas » rencontré, tout le monde sera d’accord pour dire que l’excès de ce genre de pratique est ingérable. Mais en même temps, ce type de réflexe historique d’écriture des JdR vient amha aussi du fait que certains ont besoin d’aide : autant le MJ que les joueurs, de réponses, de cadre, de guides pour résoudre certaines situations. Surtout lorsque l’on vient du jeu de société ou de plateau classique (ou toute action possible est décrite et donc son résultat guidé) et que l’on débute en JdR.
    Le « bon sens », ou le contrat social (tacite ou explicite) qui va permettre de résoudre des situations complexes de manière simple, concertée et apaisée autour d’une table, nécessite des joueurs (MJ compris) expérimentés / sûrs d’eux / de leur façon de jouer commune. Et/ou qui ne veulent pas de « ludisterie » dans leurs parties 😉

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