10 réflexions au sujet de « Radio Rôliste #33 : Mechatsudon – partie 2 »

    1. Cédric Ferrand

      Comme le podcast est découpé en trois morceaux, je m’attendais à ce que tu mettes ces liens dans les trois fils de discussion pour être certains que les auditeurs aient une chance de tomber dessus.

      C’est toujours « Faites ce que je dis, pas ce que je fais… »

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  1. Shiryu

    c’est marrant, on a fait une partie avec Steve en MJ justement, et j’ai l’impression de (re)découvrir certaines règles. Il y a trop de petites règles pour que ce soit joué comme juste un petit one-shot d’une soirée.
    Mais ça me rassure, on a bien joué une comédie !

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    1. Kal

      Mon expérience des story games c’est que la première partie tu patauges, la deuxième tu as bien compris les subtilités et tu joues correctement… et il n’y a pas de troisième partie ^^’

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  2. Steve J

    Je tiens quand même à préciser au sujet d’InSpectres que la narration partagée est certes une de mes lubbies du moment (même si j’en reviens un peu) mais la partie que j’ai joué avec Côme était parfaitement by the book.
    Les joueurs décrivant les indices qu’ils trouvent et leur signification en cas de jets de dés réussis, il n’est tout simplement pas possible de préparer son scénario à l’avance. InSpectres est par essence un jeu d’enquête à narration partagée (ce qui peut sembler a priori paradoxal).

    Sur l’article d’alexandrian (sur les trois noeuds), ce qui continue de me géner c’est que cette multiplication des indices fait presque disparaitre l’enquête. Aucune chance que les PJs/joueurs se ratent et l’enquête cesse d’être un défi. Au fond on parle de jeu d’enquête mais on ne s’arrête jamais sur l’investigation, l’important c’est que l’histoire se déroule sans blocages. Cela permet certes d’éviter la frustration du scénar d’enquête bloqué (et rien que pour ça l’article mérite amplement la lecture) mais est-ce qu’on joue encore une enquête ?

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    1. Côme

      Je pense que oui, on joue encore une enquête, dès lors que l’interprétation des indices est laissée à l’interprétation des joueurs.
      Pour reprendre l’exemple que j’utilise dans l’émission, si les PJ trouvent un cadavre avec des traces de morsure, et qu’on admet qu’ils en déduisent le caractère lupin du tueur, il leur reste à décider ce qu’ils font de cette information. Vont-ils aller voir la police ? Vont-ils aller parcourir de vieux livres poussiéreux sur la vie et les mœurs des loups-garous ? Vont-ils essayer de tendre un piège au tueur (avec une côtelette bien fraîche) ?
      D’autre part, ce que je n’ai peut-être pas expliqué dans mon intervention, c’est qu’Alexander ne parle ici que des indices essentiels à l’enquête. C’est-à-dire qu’il faut avoir trois indices pour la déduction « le tueur est un loup-garou », mais on peut imaginer d’autres déductions mineures (genre « le tueur avait une liaison avec les victimes ») pour lesquelles il n’existera qu’un seul indice.

      Au final, je pense qu’il faut arrêter de traiter le scénario d’enquête comme tendant vers un idéal où l’on recrée une progression narrative digne de Sherlock Holmes ou d’Horatio Caine. En JDR, je crois bien que ce n’est pas possible.

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