Les Carnets Ludographiques #16 : L’Enquête – 1/3

Et on reprend enfin notre rythme de publication normal avec ce très gros Carnet en trois parties, où Kobal et moi-même nous penchons longuement sur le jeu d’enquête : comment ça se conçoit, se joue et se met en scène, quels mécanismes mettent la notion en valeur, etc.
Cette première partie traite en particulier de…

  • la différence entre les scénarios linéaires hâtivement rhabillé en investigations,  la simulation d’histoires policières et le « véritable » jeu d’enquête,
  • la jouabilité des enquêtes, la valeur du challenge et donc le poids des échecs, mais aussi les exigences (variables) de technicité
  • les différents contextes d’investigations et les différents rapports à l’information qu’ils impliquent,
  • les diverses thématiques propres au jeu d’enquête, et tout particulièrement la notion d’exploration sociale
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12 réflexions au sujet de « Les Carnets Ludographiques #16 : L’Enquête – 1/3 »

  1. Zerith

    Je trépignais en entendant le début de votre podcast qui n’abordait pas le système Gumshoe. J’ai toujours détesté les échecs de ToC dans AdC, c’est pour ça que je suis passé à Trail Of Cthulhu

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    1. Humphrey B.

      Puis-je te poser une question ? Si tu détestais les échecs de TOC dans l’Appel de Cthulhu, pourquoi faisais-tu faire des jets ? A partir du moment où tu demandes un jet de compétence, quelque soit la compétence en question, tu dois admettre que l’échec est possible. Si l’échec n’est pas permis, le problème n’est pas lié au système mais à la façon dont le scénario est construit.

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      1. Humphrey B.

        Le taulier me signale que mon précédent commentaire semblait agressif. Telle n’était pas mon intention et si mon intervention a blessé qui que soit, j’en suis profondément désolé. Mea culpa.

        Ma question initiale était toutefois parfaitement sincère et je vais essayer de la reformuler. Le témoignage de Zerith concernant les échecs de TOC dans l’AdC n’est pas absolument pas isolé, et il ne s’agit pas pour moi de le discréditer ou de le nier mais d’en comprendre l’origine. Y a-t-il quelque chose dans le système de l’AdC (ou dans la façon dont il est présenté) qui nous pousserait à demander des tests là où il n’en faudrait pas ? Ou est-ce une difficulté plus générale avec la notion d’échec ?

        Qu’en pensez-vous ?

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  2. Etienne C

    Je pratique beaucoup Hellywood et COPS et j’ai un grand nombre de scénario enquête dans mes campagnes Tsuvadra, mais je crois que les plus belle réussite en partie c’est lorsque les PJ mène une enquête, trouvent de mauvais indice, trouve de mauvaises solutions et font condamner, ou s’attaque à un innocent, et qu’ils s’en rendent compte au final. Une nouvelle histoire commence ! Mais il faut que dès l’écriture du scénario la possibilité d’échec soit écrite ou pensé.
    Alors ce podcast me ravis. Merci

    PS : C’est la première fois que j’écoute Radio Roliste ! I’ll be back !

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  3. Sébastien Delfino

    C’est étrangement l’activité la plus « normalement rôliste » qu’on nous ait signalé jusqu’ici…
    Vue sa longueur, le CL#17 enregistré avec Le Grümph devrait vous permettre de drainer un marécage ou de construire une charpente. 😛

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  4. Ping : JETER LES DÉS NE ME SUFFIT PLUS ou « Pourquoi le gameplay est important » | Radio Rôliste

  5. Ping : JETER LES DÉS NE ME SUFFIT PLUS ou « Pourquoi le gameplay est important » – Memento Ludi

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