21 réflexions au sujet de « Radio Rôliste #30 : Un fouet nommé Gérard – partie 1 »

  1. Doc Dandy

    Une critique d’Hexagon assez terrible par Kalysto qui n’a pas aimé.
    Le jeu fait un peu patchwork mais à le mérite de simplifier un Marvel Cortex à mon goût trop « mécanique » pour être intéressant. Je plussoie sur les motivations qui doivent rapidement trouver leur limite à moins de bien les définir au départ.
    J’ai quand même l’impression que les auteurs ont été victime de la politique de l’éditeur qui n’a pas voulu qu’ils en mettent trop dans le jeu. Du coup on retrouve effectivement des « conseils » au détour d’une page qui font office de règles! A voir si le suivi est à la hauteur…

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  2. François 6PO

    Concernant les différents âges des comics, vous pouvez jeter un oeil à cette « Minute du Geek » :
    http://www.lemonde.fr/technologies/video/2013/08/02/la-minute-du-geek-les-ages-des-comics_3457005_651865.html

    Si vous voulez approfondir, voilà les 4 âges des comics (en mode wiki En)
    Golden Age (~1938 à ~1950) : http://en.wikipedia.org/wiki/Golden_Age_of_Comic_Books
    Silver Age (~1956 à ~1970) : http://en.wikipedia.org/wiki/Silver_Age_of_Comic_Books
    Bronze Age (~1970 à ~1985) : http://en.wikipedia.org/wiki/Bronze_Age_of_Comic_Books
    Modern Age (~1985 à maintenant) : http://en.wikipedia.org/wiki/Modern_Age_of_Comic_Books

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  3. brand

    Bon bin je poste après en avoir parlé avec Kobal, il donnera les détails si besoin 🙂

    Perso, le problème, ce n’est pas tant qu’il n’ait pas aimé que les arguments. En gros, il donne l’impression de s’être forcé à faire la critique d’un jeu traditionnel, tout en lui reprochant de l’être, mais aussi à la fois, selon les moments, de ne pas tenir compte de ce qui se fait ailleurs (de ne pas être Smallville ?) et de s’en inspirer, etc. J’avoue qu’à titre perso, la façon de critiquer la plupart des choix pour des raisons quasi inverses les unes des autres et le lien avec des chroniques précédentes n’arrivent pas à m’enlever l’impression – peut être fausse – que si le même jeu était sorti ailleurs, il lui aurait très certainement plu …

    Bref, je connais pas le jeu, je ne l’ai pas encore lu, et je n’ai aucun problème avec le fait qu’il ne l’ait pas aimé. Juste je ne comprends vraiment pas les arguments et, du coup, la critique en question. Je préfère largement quand Kalysto partage ses expériences ou quand il parle de jeux qu’ils prend pour ce qu’ils sont que ce genre de critiques (qu’il aime ou pas le jeu).

    My two cents.

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    1. Orlanth

      Kalysto viendra sans doute répondre lui-même mais, à mon humble avis à moi que j’ai, j’ai plutôt l’impression qu’il a été déçu à un moment, et que ça a teinté légèrement le reste de son analyse faisant paraitre moins bon des points qui ne l’étaient pas forcément.
      Ce qui a donné ce sentiment un peu mitigé.

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    2. Kal

      Je me doutais que j’aurai des retours. En écoutant la chronique ce midi, je me disais qu’au début ça passait quand même, mais sur la fin, clairement pas ^^’. Même juste avant l’émission je me suis tâté à faire la chronique.

      La question c’était déjà posé pour d’autres ouvrages, type, « je peux pas critiquer ça, je vois rien à sauver », là on était pas dans ce cas là. J’ai payé mon écot (un jeu de super héros c’est quand même difficile de résister, en plus sorti pour Nowel), je partais croyant (et j’avais volontairement zappé ce que je pouvais lire sur le net pour être objectif), j’ai lu l’ouvrage (donc sans influence extérieure), j’ai été relativement déçu (parce que des éléments me tenaient à cœur, motivations et articulations de l’histoire en tête) et j’ai essayé de détailler mon ressenti en prenant le temps et en cherchant à qui ça pouvait coller (mais bon, faute de temps, c’est pas sur la conclusion qu’on s’appesantit) comme je pense le faire avec d’autres jeux. Mais c’est surement de là que vient le problème, de l’avoir traité comme je le fais d’habitude.

      Dans la deuxième partie je parle de Bliss stage, j’ai le même genre d’approche pour traiter l’ouvrage mais le résultat est bien différent. Je l’ai lu et chroniqué après Hexagon, donc le comparatif ne vient que quand je termine la chronique de Bliss stage. Je relis les 2 chroniques et je me dis: si je peux trouver un ouvrage bien fait, dans sa forme mais aussi dans le fond, dans la manière dont les choses sont amenées, alors oui j’ai le droit de dire que dans un autre ouvrage je ne le trouve pas.

      Et j’en reviens du coup au « traitement comme d’habitude ». Que ce soit Bliss stage, Dogs ou Hexagon, que ça soit à la simple lecture ou après test, y a des trucs sur lesquels je bloque et je le dis. Je peux mal comprendre un système (la régie me dit d’ailleurs que les réussite sont de 3 à 6 dans Hexagon, ça va tout de suite mieux), ma table peut mal le comprendre ou ne pas apprécier un point, etc.. mais globalement on est dans le ressenti et le subjectif, sinon on parle juste du l’objet (qui en soit est pas mal pour Hexagon, ça change des formats classiques des 12 Singes). Donc si je lis un ouvrage et que je bloque plusieurs fois, ça s’accumule dans le descriptif.

      A ce stade là, il n’est pas toujours évident de faire comprendre un ressenti surtout si quand tu ressens le blocage tu te mets à penser à tel autre système qui gérait le thème sans problème, et dont est peut-être même inspiré le texte que tu lis. Et c’est du coup ce qui ressort dans ce que je dis, je pense à Fate, à Marvel, à Smallville, à Superclique, à Icons…

      Fais ton mix de chansons que tu aimes sur un cd, ça ne veut pas dire que tu auras un rayon approprié pour le ranger, et quelqu’un qui connaît les albums originaux va surement tilter s’il l’entend et pas forcément à cause de la nostalgie. Dans mon cas c’est plutôt du « tiens il aurait du prendre telle autre chanson qui se trouvait plus loin sur l’album »

      Hexagon ne fait pas partie de la pile à jeter. J’aimerai le tester mais pour ça je me crois obligé (peut être à tort) de devoir bricoler un truc drama pour renforcer les motivations/conflits internes, quelque chose pour me donner envie de mettre des points en Audace et pas qu’en Energie, quelque chose pour gérer les enchainements de scènes (interlude entre conflit/actions). Bref je me dis que pour y jouer, je vais checker d’autres jeux de super héros ou retourner à ma propre réflexion sur les problématiques de ce genre de jeux. Et je ne peux pas m’extasier de ça.
      Voilà pourquoi ma conclusion c’est que :
      -je ne le recommande pas pour un mj débutant (à tempérer selon le suivi de gamme du coup)
      -son côté compil permet de toucher à tout sans trop approfondir (constat à double tranchant)

      Et pour m’être forcé à chronique un jeu traditionnel, non pas du tout. A la base, le hasard faisait que tous les autres chroniqueurs devaient présenter de l’indie. Michaël et Côme n’ont pas pu se joindre à nous, et j’ai pu ajouter Bliss stage peu de temps avant l’émission, mais j’aurai en théorie du chroniquer un jeu tradi tandis que tous les autres partaient se dévoyer sur les pistes de l’indie/narrativisme. ^^

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      1. Rom1

        Marrant parce que autant l’influence de Marvel, je la reconnais et l’assume, autant je n’ai jamais lu Smallville ou Superclique par exemple – quant à ICONS, il m’a paru si anecdotique que je n’en ai presque rien retenu.

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        1. Kal

          Ce sont des lectures que j’ai trouvé très enrichissantes, ne serait-ce ne serait-ce que du point de vue game design.
          Smallville premier des Cortex + et sa mécanique de motivation qui met sur un pied d’égalité supers et mortels et qui encadre la création de dilemmes moraux.
          Superclique et sa mécanique de confrontation à une opposition/menace freeform, qu’il s’agisse d’hommes de mains ou de bâtiments en flammes.
          Icons je le mentionnais juste parce que j’ai un bon souvenir de ses PNJs agrémentés de synopsis permettant de les mettre en jeu facilement, mais même là où Icons pèche, par exemple pour les trop rares et très nécessaires points de détermination, il y a des leçons à tirer (un refresh des points d’Audace liés aux Motivations ? )

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  4. kahlong

    Je ne trouve pas le lien pour les t-shirt » Me parle pas de ton jeu »…euh pardon » ton perso » 😀
    Sinon un joyeux anniversaire à RR et longue vie à vous …

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  5. Natha

    Chouette émission, une fois de plus.
    Trois remarques :
    – j’ai trouvé dommage l’attitude immédiatement condescendante/ricaneuse de l’équipe face à l’univers d’Hexagon (que je ne connais pas, je précise) parce qu’il s’agissait de super-héros français. ça faisait un peu french bashing facile.
    – je rejoins des commentaires ci-dessus sur la critique d’Hexagon qui donnait l’impression que ce n’était pas le bon jeu pour le bon chroniqueur et du coup, qu’il « fallait » chercher la petite bête (consciemment ou non).
    – (remarque valable pour de nbreux épisodes de Radio Roliste) il faut vraiment faire attention au son/proximité du micro/volume dans le casque (?) pour Kalysto (et d’autres de façon plus aléatoires), parce que les différences de volume entre intervenant, particulièrement aux écouteurs dans un environnement un peu bruyant sont pas faciles à gérer pour l’auditeur. M’sieur Kobal, un petit plug-in de compression à ajouter (ou pousser le niveau de compression si déjà utilisé).

    Ceci dit, vivement la prochaine.

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    1. Orlanth

      Bonjour à toi et merci pour tes remarques.

      Pour Hexagon, j’ai l’impression que c’est pas tant du french bashing que de l’étonnement. A titre perso je ne connaissais pas du tout cet univers.
      Pour le son c’est parce que l’ami Kalysto a une voix de grave très profonde et n’ose pas parler fort.
      Pour les autres, c’est qu’on reste des putains d’amateurs et que parfois on s’emporte, on rigole, et on pense plus à parler pas dans le micro 🙂
      Le pauvre Kobal s’en sort pas mal déjà techniquement, c’est vraiment à nous de nous améliorer.

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  6. Kal

    Pour l’anecdote, lors du test des micros en début d’enregistrement, je trouvais ma voix un peu étouffée par rapport à d’habitude, mais les indicateurs affichaient de bons niveaux pour l’enregistrement. Le mystère a été résolu quand on a compris que je parlais au dos du micro, mais que ça suffisait pour qu’on entende très bien ma voix ^^’.
    Très souvent j’ai des commentaires à faire et je pense que je peux commencer ma phrase et je m’interrompt de suite parce que je vois que je vais couper mon comparse. L’équilibre pour donner la réplique et rendre l’émission vivante tout en laissant l’autre avancer dans sa chronique n’est pas évident, surtout qu’on opère en temps limité tout en détaillant de plus en plus le contenu des jeux. Il nous faudrait peut-être un totem de parole (non, pas une bouteille de bière, y en a trop sur la table)

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  7. Peggy

    Je confirme le problème de sons, j’écoute l’émission en voiture et lorsque Kalisto parle, je ne dois pas dépasser 70km/h sinon je l’entends plus. A cause de lui, j’arrive en retard au boulot, et pourtant ma voiture est très silencieuse.

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